EUROMARKT-MAGAZINE

                               le magazine européen par excellence

 
 

                    

                                  D I S T R A C T I O N

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Cette rubrique est faite pour vous détendre. Vous trouverez des devinettes pour vous amuser, des histoires pour rire, des jeux pour tous, une pointe d'humour, une pièce de théâtre pour vous divertir "Ravalements" et pour terminer "Le Bien-Être" et "Les Clefs du Bonheur" qui peuvent vous être fort utile. 

Si vous avez une histoire drôle à nous proposer, n'hésitez pas à en faire profiter nos lecteurs en nous la communiquant afin qu'elle soit publier.

Si vous avez des jeux à nous faire connaître, nous nous ferons un réel plaisir de les publier...

 

                                                                         alain.cathelot@sfr.fr


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                            D E S    D E V I N E T T E S    P O U R    V O U S    A M U S E R


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1) Quelles villes françaises font vingt et un ?

2) Quel est le comble pour un joueur de pétanque ?

3) Quel est le comble poir un plombier ?

4) Quelle est la différence entre un chewing-gum et un avion ?

5) Quel est le comble pour un fleuriste ?

6) Que dit un vitrier à son fils pour qu'il soit sage ?

7) Quel est le comble pour un agneau ?

8) Je commence par un "e", je finis par un "e" et je contiens plusieurs  lettres. Qui suis-je ?      

9) Qu'est-ce qui est jaune et court vite ?

10) Quelle heure est-il lorsque l'horloge sonne 13 coups ?

11) Quel est le sport le plus fruîté ?

12) Qui est toujours gagnant après le grattage et avant le tirage ?

13) Qu'est-ce qui naît grand et qui meurt petit ?

14) Qui est-ce qui traverse les vitres sans les casser ?

15) Sans moi, Paris serait pris. Qui suis-je ?

16) Quel est le comble pour un footballeur ?

17) Quel est la meilleur période pour aller à la chasse ?

18) Quel est le comble pour un professeur de musique ?

19) Quel est le comble pour un électricien ?

20) Quel est le comble pour un menuisier ?

21) Quel est le comble pour un magicien ?

22) Que ne faut-il pas faire devant un poisson-scie ?

23) Quelles sont les histoires préférées des sirènes ?

24) Qu'est-ce qui peut faire le tour du monde tout en restant dans un coin ?

25) Quel est le comble pour un caméléon ?

26) Quel est le comble pour un boulanger ?

28) Plus je sèche, plus je suis mouillée. Qui suis-je ?

29) Quel est le comble pour un buraliste ?

30) Quel est le comble pour un cycliste ?

31) Quelle est la différence entre un cendrier et une théière ?

32) Quel est le comble pour un dentiste ?

33) Comment s'appelle un boomerang qui ne revient pas ?

34) Que se disent deux fantômes qui se rencontrent ?

35) Pourquoi les savants ont des trous de mémoire ?

36) Quel est le fruit qui fait le plus peur aux poisson ? 

37) Quel est le comble pour un joueur de basket ?

38) Quel est le comble du chien de chasse ?

39) Quel est le comble d'une souris ?

40) Quel est le prénom qui lit à l'envers donne un nouveau prénom ?

41) Quels fruits trouve-t-on dans toutes les maisons ?

43) Pourquoi les footballeurs français vont souvent chez le coiffeur ?

43) Quelle est la différence entre le chameau et l'homme ?

44) Quel est le comble pour un serrurier ?

45) Quel est le comble pour un vendeur de légumes ? 

                              ( Les réponses sont plus loin )

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                              D E S      H I S T O I R E S     P O U R     R I R E 
 

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 - C'est un garçon qui rentre de l'école avec une très mauvaise note et son père lui dit :
     .-- Une très mauvaise note comme ça, ça mérite une correction.
Son fils lui répond aussitôt :
     .-- C'est simple, je sais où habite le prof.


- Fou de rage, un client retourne dans l'agence immobilière.
     .-- C'est un scandale ! Vous avez décrit cette maison comme une charmante demeure et elle est située entre une décharge publique et une savonnerie.
     .-- Certes ! Elle a ses avantages et ses inconvénients ! 
     .-- Ah ! vraiment ? Et quels avantages voyez-vous ?
     .-- Au moins vous savez toujours de quel côté vient le vent.


- C'est un mec qui passe un examen pour devenir policier. On lui demande :
     .-- Quelle était la couleur du cheval blanc d'Henri IV ?
     .-- Alors là, pouh... aucune idée.
L'examinateur lui dit alors:
     .-- Ecoutez, bon pour cette fois-ci je ne vais pas être sévère.Rentrez chez vous, réfléchissez et revenez demain, on en reparlera.
Le mec rentre chez lui. Sa femme lui demande :
     .-- Alors ça c'est bien passé ?
     .-- Je veux. On m'a déjà confié une enquête ! ! !


 

.-- Dis, papa, qui a inventé la photographie ?
.-- Je ne me rappelle plus.
.-- Et le phonographe.
.-- Euh !... Cela m'échappe.
.-- Excuse-moi, papa. Je te dérange peut-être avec mes questions ?
.-- Absolument pas, mon chéri ! Si tu m'interroges pas, tu ne sauras jamais rien !


- Un entrepreneur français et un américain ont fait le pari de savoir qui des deux construirait un immeuble dans le plus court délai. Un mois après, l'Américain appelle son copain :
     .-- Encore quinze jours et notre immeuble sera terminé !
Le Français lui rétorque :
     .-- Encore dix formulaires et nous pourrons commencer.


- Un mille-pattes se lamente:
     .-- J'aimerais tellement faire du patin à glace, mais le temps que je chausse mes patins, l'hiver est passé ! 


- C'est une jeune fille blonde qui retrouve une de ses copines, blonde aussi.
     .-- Holalalala, j'ai encore raté le permis...
     .-- Qu'est-ce qui s'est passé ?
     .-- Je suis arrivée près d'un rond-point et là comme l'indique le panneau 30, j'ai fait 30 fois le tour du rond-point.
     .-- Et tu t'es trompée de combien de tours ?



- Au cours d'une soirée, un homme va prendre un peu l'air dehors. Lorsqu'il revient, il a le pentalon trempé. Son voisin lui demande :
     .-- Il pleut dehors ?
Et l'autre de répondre:
     .-- Non, il y a du vent..
.


- C'est une conversation entre une institutrice et son élève :
     .-- Madame, madame, est-ce que je peux être puni pour quelque chose que je n'ai pas faite ?
     .-- Mais bien sûr que non. On ne va pas te punir pour quelque chose que tu n'as pas faite.
     .-- Eh bien, ça va alors... Je n'ai pas fait mes devoirs hier !


- Toto revient de l'école avec son bulletin rempli de mauvaises notes.
     .-- Quelle excuse vas-tu encore trouver ? soupire sa mère accablée...
     .-- Eh bien, j'hésite entre l'hérédité et l'environnement familial !


- Un patron à son employé :
     .-- Monsieur Dupont, vous êtes renvoyé de l'entreprise.
     .-- Mais pourquoi ? J'ai rien fait.
     .-- Justement !


- Un homme conduit sur l'autoroute et entend à la radio :
     .-- La sécurité routière nous informe que sur l'A9 une voiture roule à contre-sens. Soyez vigilants...
     .-- Une voiture ? dit le conducteur... Pas une voiture ! Une centaine !


 

- Deux collégiens discutent entre eux :
     .-- C'est quoi un coup de foudre ?
     .-- C'est quand tu rencontres une fille du tonnerre.


- Une dame arrive chez son médecin. Elle a un oeil au beurre noir.
     .-- Qui vous a fait ça ?
     .-- Mon mari !
     .-- Mais je croyais qu'il était en voyage d'affaires !
     .-- Moi aussi...


- Une femme dit à son mari :
     .-- Tu travailles lentement, tu comprends lentement, tu marches lentement. Y a-t-il quelque chose que tu fais vite ?
     .-- Oui, je me fatigue vite!


- Un employé se plaint à son ami :
     .-- Avec le chef que j'ai au bureau, impossible de dormir pendant le travail !
     .-- Pourquoi ? Il te surveille ?
     .-- Non, il ronfle !



- Une femme raconte à une de ses amies :
     .-- C'est grâce à moi que mon mari est devenu millionnaire !
     .-- Et avant, qu'est-ce qu'il était ?
     .-- Milliardaire.


 

- Le médecin demande à l'infirmière :
     .-- Ce sont les quadruplés nés hier qui pleurent si fort ?
     .-- Non, c'est le papa !


- Au restaurant, le serveur demande au client :
     .-- Comment avez-vous trouver le steak ?
     .-- Tout à fait par hasard, en soulevant une frite !


- Un homme vient de se faire renverser par une voiture. Le conducteur sort du véhicule et lui dit :
     .-- Vous avez de la chance, on est juste devant le cabinet d'un médecin.
     .-- Oui ! Sauf que le médecin, c'est moi !



- On sonne à la porte :
     .-- Bonjour Madame ! Je suis l'accordeur de piano.
     .-- Mais, je ne vous ai pas demandé de venir !
     .-- Vous, non ! Mais vos voisins, oui !


- Un employé va trouver son patron et lui dit :
     .-- Monsieur, mon salaire n'est pas du tout en rapport avec mes capacités !
     .-- Hé oui, je sais bien... Mais nous ne pouvons tout de même pas vous laisser mourir de faim !


 

- Deux petits garçons discutent à la récré :
     .-- Tu crois qu'il y a du monde sur la Lune ?
     .-- Ben oui, c'est toujours allumé !


- Un homme complétement ivre se trouve dans un bistrot et demande à un homme en uniforme :
     .-- Portier, appelez-moi un taxi.
     .-- Je ne suis pas portier, je suis officier de marine.
     .-- Bon, appelez-moi un bateau.



- Une dame entre dans les bureaux de la perception. L'employé montre un certain étonnement :
     .-- Mais votre chèque est tout mouillé.
     .-- Oh ! Monsieur. C'est que mon mari a beaucoup pleuré avant de le signer. 


- C'est l'histoire d'un sourd qui s'est laissé dire par un muet qu'un aveugle avait vu un cul-de-jatte sortir en courant d'un café parce que un manchot lui avait jeté des pierres.


- J'ai vu, l'autre jour à la télevision, le début d'un spectacle de prestidigitation extraordinaire. Successivement, le magicien faisait disparaître un lapin, un mouton, une vache, un éléphant...
     .-- Et tu n'as pas suivi le spectacle jusqu'à la fin ?
     .-- J'aurais bien voulu... Mais mon téléviseur avait disparu, lui aussi...


 

- Une mère se plaint de l'extrême paresse de son fils aîné :
     .-- C'est simple... Il serait tout juste bon à cirer les chaussures dans un camp de nudistes !



- Un habitant du Grand Nord est devant la porte d'un igloo. Il trépigne, se frotte les mains et les épaules pour se réchauffer. Au bout d'un moment, il sort un thermomètre de sa poche et dit :
     .-- Si à moins vingt elle n'est pas là, je m'en vais !


- Un pilote et un copilote d'un petit avion de touristes atterrissent avec difficulté sur un aéroport qu'ils ne connaissent pas.
Le pilote dit à son co-pilote :
     .-- Tu as vu. Les pistes d'atterrissage de ce pays sont spéciaux. Elles sont courtes mais qu'est-ce qu'elles sont larges !


- Une patrouille de gendarmerie sur une autoroute s'arrête à la hauteur d'un automobiliste qui pousse sa voiture.
     .-- On peut vous aider. Vous êtes en panne ? demande l'un des gendarmes.
     .-- Absolument pas ! répond le conducteur. Je viens d'acheter cette voiture et le garagiste m'a dit : "Sur la route nationale, vous roulez normalement ; mais sur l'autoroute vous la poussez !" 


 

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            "Ci-dessous, vous trouverez les réponses des devinettes."

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1) Sète Foix Troyes   2) C'est de perdre la boule   3) C'est d'avoir des bons tuyaux   4) Un chewing-gum, ça colle et un avion, ça décolle   5) Se faire envoyer sur les roses   6) Tiens-toi à carreau et tu auras une glace!!!   7) C'est de marcher à pas de loup   8) Une enveloppe   9) Un citron pressé   10) L'heure de la réparer   11) La boxe, parce que tu prends une pêche dans la poire, tu tombes dans les pommes et tu ne ramènes plus ta fraise   12) Le ramoneur   13) Une bougie   14) Le rayon de soleil   15) La lettre "a"   16) Ne pas avoir un but dans la vie   17) Quand il fait un temps de chien et un froid de canard   18) Donner une mauvaise note à ses élèves   19) C'est d'avoir des ampoules aux pieds   20) C'est d'être payé avec un chèque en bois   21) C'est d'oublier sa baquette chez le boulanger   22) La planche   23) Celles qui se terminent en queue de poisson   24) Un timbre   25) En faire voir de toutes les couleurs   26) De déposer une plainte au parquet   27) C'est d'être dans le pétrin   28) La serviette   29) C'est d'être passé à tabac   30) C'est de perdre les pédales   31) Le cendrier, c'est pour des cendres tandis que la théière, c'est pour mon thé   32) C'est de ne rien avoir à se mettre sous la dent   33) Un bout de bois   34) On est dans de beaux draps   35) Parce qu'ils se creusent la tête   36) La Pêche   37) Ne pas être à la hauteur   38) De poser un lapin à son maître   39) De donner sa langue au chat   40) Léon = Noël   41) Les mûres et les coings   42) Pour avoir la coupe   43) Le chameau peut travailler dix jours sans boire, et l'homme peut boire dix jours sans travailler   44) Mettre la clé sous la porte   45) Qu'on lui raconte des salades.

 

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                              -  DES   JEUX   POUR   TOUS  -                       


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                                          "Ni oui, ni non".

Le "ni-oui ni-non" se joue à plusieurs. Un des joueurs au choix pose à tour de rôle des questions courtes aux autres joueurs. Chaque joueur doit répondre très rapidement à la question posée sans employer le oui ou le non. Il sera ainsi disqualifié s'il utilise un de ces deux mots.

Le gagnant de la manche est le joueur qui aura répondu à 10 questions sans utiliser les deux mots interdits. Il prendra alors la place du questionneur.

Le gagnant final est le joueur qui aura réussi à éliminer tous ses concurrents par ses questions-pièges.


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                                           "Chaises moins une". 
 

Ce jeu nécessite le concours de plusieurs participants.

On installe, sur une seule ligne, un nombre de chaises égal au nombre de participants moins une.

Les participants sont alignés en face des chaises à 10 mètres d'elles et un arbitre est désigné.

Au top-départ donné par l'arbitre, chacun doit trouver une chaise pour s'asseoir. Celui qui n'a pas trouvé de chaise sera alors éliminé.

Et ainsi de suite jusqu'à  ce qu'il ne reste plus qu'une chaise pour deux participants.

Le participant qui réussira à s'asseoir sur la chaise après le top-départ, aura gagné. 

 
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                                           "Trous de mémoire".


Deux équipes d'au moins deux personnes chacune avec le même nombre de personnes dans chaque équipe.

Les équipes choississent à tour de rôle une des dix chansons les plus connues du public dont le refrain est interprété avec l'oubli d'un mot par une des deux équipes.

L'équipe adverse doit trouver en 30 secondes le mot manquant du refrain de la chanson choisie.

L'équipe qui se trompe ou qui n'a pas trouvé le mot perd un point. L'équipe qui a trouvé le mot gagne deux points.

A la fin de la partie, l'équipe gagnante est celle qui a obtenu le plus grand nombre de points sur les dix chansons mises en compétition.

L'équipe perdante a un gage. Elle doit interpréter sans se tromper le premier couplet de la chanson qu'aura choisi l'équipe gagnante. Si elle se trompe une des personnes de l'équipe devra se retirer.

Au final l'équipe qui aura réussi à éliminer toutes les personnes de l'équipe adverse aura gagné le jeu.

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                               -  Une Pointe d'Humour  -
  

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                                                       IRIS LA DOUCE                                                               

- Ce matin, nous sommes partis pour faire une balade dans le Parc, à cheval. Enfin, à cheval est un bien grand mot. Il y avait une mule, un percheron beauceron avec un cul comme une jument de labour, un mulet et une ânesse.

- Eric, un copain d'Arthur mon ami, est à l'origine de l'invitation à la promenade, pour sortir les bêtes dont il avait la charge et les aérer. Nous étions quatre. Je suis la plus petite, de loin. Et même de près. Ou bien je prenais l'ânesse, ou bien quelqu'un restait sur le carreau. Je ne sais d'ailleurs pas pourquoi j'emploie cette expression qui était rétrospectivement prophétique.

- Bonne bête, je prends l'ânesse IRIS. La bonne bête, c'était moi seule, alors que naïvement je croyais que nous étions deux. Pas du tout. Vous allez voir pourquoi. D'abord l'animal n'avait pas de selle. Surprise !  Trop tard !  Eric crie : "Tout le monde est là ?" Nous sommes alors partis.

- Enfin les autres partent. Pas moi. IRIS veut rester à l'écurie. Nous cherchons un compromis. Elle accepte de bien vouloir sortir du box en se frottant contre la chambranle de la porte, m'arrachant à moitié la jambe droite que j'avais réussie à passer par-dessus son dos, dans un équilibre précaire. 


- Je mets cet incident sur le compte de l'émotion d'IRIS et de ma maladresse à lui faire comprendre mon intention. Je prends fermement le mors d'Iris en main. Nous déboulons sur le trottoir de la rue principale qui rejoint la Parc.

- Un autobus passe. Horreur ! Malheur ! IRIS se jette sur le grillage qui borde la rue, bousculant sur le coup, un enfant terrorisé, en l'épinglant, comme un insecte de collection, les bras écartés en croix.

- J'explique au crucifié que l'ânesse a les nerfs fragiles. C'est une pauvre petite bête poilue, que deux pattes énormes et une croupe monstrueuse pourrait faire passer pour féroce. Mais que non.

- Quand IRIS eut fini de malaxer le garçonnet, nous sommes repartis jusqu'à la grille de l'écoulement des eaux, celle qui sert de seuil à l'entrée du Parc. Là, elle bloque irrévocablement son trottinement saccadé et sans selle. J'arrive à serrer mes cuisses autour de son cou, pour faire corps avec elle, juste avant de passer en vol plané par-dessus sa tête. La pauvre semble tétanisée.

- Il y a comme ça, chez des animaux, fussent-ils domestiques, des coinçages forcenés, venus de l'inconscient. J'avais bien connu une jument pur sang, effrayée par tout papier volant, ressemblant de près ou de loin, à une feuille blanche. Elle pouvait, sans crier gare, prendre ses jambes à son cou. Je refusais obstinément de la monter.

- A l'entrée du Parc, et forte de ce souvenir, je décrète que l'ânesse a, elle aussi, ses propres phobies, en l'occurence les grilles d'évacuation. Je lutte fortement contre son trac.

- La phobie nerveuse redouble. Nous choisissons une modus vivendi. Elle accepte de rentrer dans le Parc, mais à travers le buisson épineux qui se dresse à côté de la maudite grille qu'elle ne peut PAS franchir, on le voit bien. C'est nerveux.

- Enfin la traversée s'est réalisée au milieu des piquants. Les jambes de mon jean sont déchiquetées. Au loin, les autres ondulent nonchalamment, sans un regard en arrière. Je pousse IRIS au trot. Elle saute comme une folle, de droite et de gauche, en se secouant avec de grandes détentes hystériques.

- Je cherche quels peuvent être ses nombreux phantasmes... Serait-ce l'oiseau qui, à cent mètres, picore ? Ou une feuille de platane malencontreusement jaune ? Ou un enfant qui court dans le lointain, avec une stupide casquette rouge ?

- Pauvre bête. Ses angoisses la taraudent. Je fonds de pitié. Je lui parle. Je la caresse entre deux soubressauts frénétiques, la serre, la pousse, la talonne, lui maîtrise la bouche avec fermeté et en m'excusant pour ces attouchements un peu brutaux. La promenade est un martyr pour mon coeur qui saigne devant les craintes que la malheureuse exprime dans sa terreur.

- Les autres me distancent. J'ai beau crier alors des "houhou" étouffés, que je camoufle pour ne pas irriter davantage les pauvres nerfs délicats d'IRIS. Eux, ils ne m'entendent pas. J'essaye de les rattraper. En vain. Les peurs de la bête fragile m'imposent des raccoucis inopinés.


- Tantôt nous grimpons un escalier au triple galop, au milieu d'un groupe de personnes du 3ième âge en visite organisée... Tantôt nous pataugeons dans la boue d'un marécage tendance sable mouvant. Les mamans garent vite leur poussette. Les adolescents hurlent de joie et d'encouragements. Les fillettes demandent à leur père, la nature et l'origine de la monture.

- Je brave tous les avatars. Je finis le circuit, toujours loin derrière les "vrais" cavaliers, mais presque dans les temps. Arrivée au terme de la promenade, je descends habilement devant la fameuse grille d'évacuation des eaux usées. Je tire ma compagne par la bride pour rentrer à l'écurie, sans orgueil excessif.

- Et là... miracle ! Tout devient paisible. Elle passe sans coup férir par-dessus la grille maudite, regarde circuler les autobus naturellement, ne lamine personne, ne bondit, ne secoue, ni même ne frissonne un brin. Un véritable ANGE de décontraction !

- L'accueil de la foule massée devant l'écurie me surprend par la chaleur.

.-- Alors là, chapeau ! Tu es la première à avoir pu monter IRIS. C'est la pire ânesse têtue qui existe. Elle a déjà envoyé deux fafarons et ma soeur à l'hôpital.

- Eric insiste : Oui, chapeau pour avoir su maîtriser IRIS. J'avais bien deviné que tu étais une bonne cavalière.


- Le sang me monte aux joues. Je leur avais bien dit que je détestais monter à cheval. Je réponds sans bien savoir où donner de la tête :

.-- IRIS dangereuse ?  Je croyais, au contraire, qu'elle était très émotive. Je la chouchoutais par pitié.

- Je n'arrive pas à le croire ! Plus je gueule, plus cela les fait rire. Verte de rage j'ai envie de les mordre, de les frapper, les écraser, les calotter, les émasculer, les fouetter à mort... et le reste.

- Mais je sais bien que je suis trop lâche. Ainsi je ne serais même pas capable de mettre ma colère à profit, pour rentrer dans le "Bingo Club", le Cercle le plus chic de Paris, celui qui accueille les pires galopins de la capitale, comme Eric et Arthur.

- Finalement, j'aime trop la douceur, et puis rire, surtout rire de tout. Et même de moi. C'est comme ça que s'est terminée la soirée, dans une franche rigolade. Mais quels salauds, tout de même !

 - Puisqu'ils croyaient qu'IRIS était dangereuse, ils auraient dû me prévenir dès le départ, n'est-ce pas ?

- Ce que je ne leur ai pas dit, c'est qu'ils se trompent. C'est moi qui ai raison. Je le sais. La pauvre bête est bien fragile. Ils mettent les ruades sur le compte de la méchanceté. Mais ce n'est pas vrai du tout. Je dis le contraire. Qui peut dire que c'est moi qui ai tort ?

- IRIS est une petite merveille !  ET POURQUOI PAS ?


 

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             - Une Pièce de Théâtre pour vous divertir - 
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                                            RAVALEMENTS
                                              Auteur : Chloey Till
                                                 Editions KILUDI
                                              112, avenue de Paris
                                                        CS 60002
                                            94306 Vincennes Cedex

 

Sous les Apparences  :  Se faire ravaler la façade  pour  avoir  l'air  d'être beau à l'extérieur est inutile, si on continue d'être laid à l'intérieur.


RAVALONS ! ! ! En effet, il est grand temps de ravaler. Lorsque les systèmes sont viciés à la base, il ne faut surtout pas chercher à les améliorer, il faut les éradiquer complétement.                        

              PERSONNAGES : Jean-Gabriel Lajonc.
                                      Melissa Dumont.  
                                      Arthur Choque.  
                                      Maurice Bettenberg.


DECOR : Dans la salle d'attente d'un célèbre chirurgien esthétique, cinq chaises face au public et devant elles, un porte-revue plein de magazines. Melissa est assise au milieu avec à sa gauche une chaise vide ; à la gauche de la vide, Maurice. Arthur est assis(e) à la droite et Jean-Gabriel à la gauche d'Arthur.


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.-- Melissa : (très BCBG, voilette, talons haut, tailleur chic). Je peux prendre le FIGAROSCOPE ?

.-- Maurice : (tenue pilote d'avion, veste blazer, décotations). Oh ! je vous en prie.

.-- Melissa : Merci infiniment.

.-- Arthur : (blonde pulpeuse, exubérante, tenue voyante de vamp, mini-jupe, belle poitrine décolletée, très maquillée, bijoux voyants). Vous voulez peut-être POINT DE VUE ? Je l'ai fini.  Je peux vous le passer tout de suite.

.-- Melissa : Oh ! Merci beaucoup. J'adore ces histoires de princesses et de stars... Ah ! Tenez, regardez sur LIFE, on a la famille royale britannique, et en première page, le Prince Harry en tenue légère.

.-- Arthur : Vous voulez dire qu'il est à poil ! ! ! Il faisait un streap poker avec des amis. Même qu'on lui voit les bijoux de famille.

.-- Maurice : Et dans la famille royale, ça a de la valeur ! Et même, on peut dire, de la grandeur.

.-- Melissa : Oui, ça a de la gueule.
 
.-- Arthur : Si on peut parler de gueule, à cet endroit-là !

.-- Melissa : Quand ça a de la gueule, ça a de la gueule ! J'adore ces revues chics.


.-- J . G . :  (Genre beauf style pète sec, gominé, pantalon garni, raie au milieu, sorte de semblant bourgeois faux cul). Ah ! Oui. C'est mieux que ces ragots de "France Régions" qui ne connaissent que les politiciens véreux et les luttes de classes inutiles et ridicules.

.-- Melissa : Ah, ne parlons pas de politique ! Je vous en prie ! Ni de racisme d'ailleurs !

.-- Arthur : Ni de religion ! Bien sûr !

.-- Maurice : C'est vrai ! Vous avez bien raison ! (Ils se sourient en silence. Melissa laisse tomber sa revue. Les deux hommes se précipitent pour la lui ramasser).

.-- Melissa : Merci beaucoup ! Vous êtes bien aimables.

.-- J. G . : Mais non, je vous en prie. C'est tout à fait normal envers une jolie femme.

.-- Maurice : Charmant de surcroît.

.-- Melissa : Oh, merci ! Vous me flattez !

.-- J . G . : (Il heurte Arthur en regagnant sa place). Oh! Excusez-moi !

.-- Arthur : Y a pas de mal. Ce n'est rien.


.-- J . G . : Si, si, j'aurais dû faire attention. (Il lui baise la main). Chère Madame.

.-- Arthur : C'est un plaisir. (Ils se sourient en regardant les autres).

.-- J . G . : Le plaisir est pour moi. (Les autres leur rendent leurs sourires. Un silence. Un téléphone portable sonne. J.G. répond). Oui, Monsieur Duregard, je serai là dans une heure, deux au plus tard, pour coller et contrôler les affiches. Bien sûr. Et avec l'équipe... (Il se lève et s'agite). Oui. A tout à l'heure... Nous en parlerons. (Il raccroche).

.-- Maurice : On est toujours dérangés avec ces téléphones portables ! C'est insupportable !

.-- J . G . : C'est bien vrai ! (Une silence).

.-- Melissa : (Elle pousse brusquement un cri en ramassant son portable qui a glissé de sa poche sur sa chaise, en regardant machinalement Arthur et en murmurant). Ah, putain !

.-- Arthur : C'est pour moi que vous dites ça !

 

.-- Melissa : Oh, mon Dieu non ! Je me suis pincée le doigt avec mon portable. C'est bête !

.-- Arthur : Ah ! J'aime mieux ça...  

.-- J . G . : Vous êtes bien chatouilleuse quand on parle de femme de petite vertu !

.-- Arthur : Parfaitement ! C'est une réaction normale de dame, non ? ! Je dois vous dire que je suis féministe à mort ! (Elle agite le bras et heurte J.G. sous la ceinture).

.-- J . G . : Aïe ! Vous êtes folle de me taper comme ça ?

.-- Arthur : Ouah ! Je vous ai à peine touché !

.-- J . G . : Mais vous avez bel et bien frappé ma cicatrice !

.-- Maurice : Vous aussi, vous venez pour vous faire retirer les fils ?

.-- Arthur : De quoi on vous a opéré dans le bas-ventre ?

.-- J . G . : Heu ! Je veux dire que... c'est délicat... mais non... enfin...

.-- Arthur : Ah !  C'est vous le mec dont on a allongé l'organe ? Je vous reconnais ! J'ai vu votre photo dans la Revue Médicale "Sexe et Chirurgie".

.-- Melissa : (Très excitée, elle s'adresse à Maurice). Mon Dieu ! Cela se fait ces trucs-là sur les hommes ? Dites-moi tout ! Vous aussi vous êtes venu là, exprès pour ça ?

.-- Maurice : Ah, mais non ! Oh, pas du tout !

.-- Arthur : Oh ! Il n'y a pas de honte à le dire, si vous avez un petit zizi. Moi, c'est le contraire. Je me suis fait tout enlever. Je ne supportais plus d'être un homme à l'extérieur. Depuis l'enfance, je me sentais une femme à l'intérieur. Maintenant ça y est. Enfin, je peux épanouir ma sexualité de partout. (Il tripote alors J.G.).

.-- J . G . : Je ne suis pas comme ça, Monsieur ! Je ne suis pas celui que vous croyez. Otez vos mains de là ! Et plus vite que ça ! Oh ! ! !

.-- Arthur : Mais puisque je vous dis que je suis une femme !

.-- J . G . : Alors pourquoi vous avez une pomme d'Adam ?

.-- Arthur : C'est un détail. C'est l'affaire de quelques jours. On va pas en faire un tonneau ! Hein ?

.-- Melissa : Ne vous vexez pas, Madame... Maintenant que Monsieur a été allongé, il n'aime peut-être plus les femmes ? Et il préfère les messieurs ? Par exemple, vous Monsieur, là ? ( Elle montre Maurice).

.-- Maurice : (à Melissa). Je n'en suis pas, Madame ! Au contraire, j'aime beaucoup les femmes !  

.-- Arthur : Ah ! Alors j'ai mes chances. ( Elle prend la chaise vide à côté de Maurice et lui tripote le genou fermement).


.-- Maurice : Mais non, pas du tout ! Je vous en prie ! Ah, stop ! Je suis très chatouilleux. Surtout par là !

.-- Arthur : Mais qu'est-ce que vous croyez ? Regardez, j'ai tout parfait. Les seins, les cuisses, le derrière... et tout le reste... (Elle s'exhibe et se tortille).

.-- Maurice : Oui, c'est vrai ! Y a rien à dire... Mais tout de même... monsieur... madame... ma...d'... moiselle...

.-- Arthur : Oh ! Merci ! (Elle l'embrasse).

.-- J . G . : Mais où va-t-on ? On flotte en pleine trans-sexualité ! Ou quoi ? C'est tout de même très, très fort ! (Silence gêné. Chacun reprend sa revue. Ils se regardent par-dessous, se grattent la gorge, se mouchent. Un bruit de scie vient du cabinet du chirurgien. Les regards s'affolent).

.-- Melissa : (à Maurice). Et vous ? Pourquoi êtes-vous là ?  

.-- Maurice : C'est professionnel. Je suis pilote de ligne. Mais j'ai besoin de faire plus sérieux.

.-- J . G . : Mais vous n'avez pas besoin de ça ! Vous faites drôlement sérieux ! Plus, ce serait trop !  

.-- Maurice : Oui, maintenat je fais sérieux, parce que je me suis fait faire des rides et que je me suis fait teindre les cheveux en gris. En réalité, je n'ai que vingt-quatre ans. Et j'en faisais même dix de moins avant. Alors les passagers : "Ah, la la ! Où est le pilote, mon petit ?" Non, ça n'allait pas. Vous comprenez ?

.-- Melissa : Ah ! Vous n'avez que vingt-quatre ans, mon petit ?

.-- J .G . : Oui, c'est vrai ! Vraiment, je ne me sentirais pas tranquille dans votre avion !

.-- Arthur : Alors, ça c'est vrai ! ! !

.-- J . G . : C'est quoi votre ligne habituelle ? Qu'on y aille pas ?

.-- Maurice : Oh, vous l'allongé de la chose ! Vous n'avez pas besoin de faire le malin. Vous voulez vous moquer des autres et vous ne voyez pas le ridicule de votre situation de minable ?

.-- J . G . : Quoi ?

.-- Maurice : Vous feriez mieux de vous faire refaire la gueule. Au moins elle, on la voit... On ne peut pas l'ignorer ! Et ce n'est pas joli, joli ! ! ! (J.G. fait mine de se lever pour frapper Maurice).


.-- Melissa : Ne nous énervons pas. Je vous en prie ! ! ! Essayons de rester dans le Politiquement Correct ! Pas d'insulte, s'il vous plaît ! Que ce soit à tendance xénophobe, haineuse, antireligieuse et même antiféministe !

.-- Maurice : Mais le Féminisme n'est jamais du racisme entre femmes ! Cela tient au fait de la surabondance de provocation entre les hommes ! La violence est partout. (Derrière Melissa, il fait un bras d'honneur à J.G. qui le voit et qui cette fois-ci se lève pour frapper Maurice).

.-- Arthur : Comment ? Mais qu'est-ce que c'est que ça ? Ah, oui ! Restons calmes, Messieurs ! ! ! (Elle s'interpose entre les deux hommes et frôle la braquette de J.G.).

.-- J . G . : (Il hurle). Aïe ! ! ! Ah, mais faites donc attention, pouffiasse ! Vous avez encore bousculé ma cicatrice !

.-- Arthur : Mais aussi, qu'est-ce que vous avez à vous le mettre tout le temps en avant, votre machin ? C'est de l'obsession ! Planquez-le une bonne fois pour toute, votre résidu ! Vous êtes trop cloche avec vos bijoux de famille atrophiés !

.-- J . G . : (Prenant Arthur au collet). Ah ! Pardon Madame ! Heu, Monsieur... Je vous en prie, soyez poli au moins une fois par hasard ! Parce que depuis le début, c'est plus que limite... C'est out !


.-- Arthur : (Elle se débat). Mais pourquoi me dire "Mon - sieur" ? Je suis une dame, encore une fois, pour votre gouverne bouchée ? Ah, vous êtes bien sexistes, vous les hommes ! (Elle s'adresse à Melissa). N'est-ce pas, Madame ? Vous êtes bien d'accord ?

.-- Melissa : Oh, moi, vous savez...

.-- Arthur : Non, je ne sais pas. Que voulez-vous que je sache ? Qu'est-ce que vous cachez que vous voudriez que je sache ?

.-- Melissa : Mais rien du tout !

.-- Maurice : Vous êtes là pourquoi ?

.-- Arthur : La liposuccion ?

.-- J . G . : Ah oui ! Vous vous faites enlever la graisse, ou quoi ?

.-- Melissa : Non. Pas du tout.

.-- J . G . : Cela ne pourrait pas vous faire de mal d'ailleurs ; un peu par ici et un peu par là, sur le derrière...

.-- Melissa : Ah ! Je vous en prie ! Ne me touchez pas...

.-- Arthur : Vous vous êtes pas fait tirer la peau ?

.-- Melissa : Mais non !


.-- Arthur : Vous auriez dû...

.-- Maurice : Refaire les oreilles ?

.-- Melissa : Mais non !

.-- Maurice : Pourtant !

.-- J . G . : C'est pour la bouche ! J'ai deviné. Vous la voulez pulpeuse, charnue, énorme !

.-- Melissa : Mais non !

.-- Arthur : Voilà, je sais. Vous avez une perruque. Vous êtes chauve ? (Avec J.G., ils lui tripotent la tête et lui tirent les cheveux).

.-- Melissa : Mais non, vous êtes folle ! Vous êtes tous fous ! Aïe, aïe ! Vous me faites mal ! Ah, laissez-moi tranquille ! Poussez-vous... Aïe ! ou j'appelle au secours ! (Elle les frappe).

.-- Maurice : Oh ! Laissez-la. Madame a ses nerfs...

.-- J . G . : On va bien voir où se trouvent vos fils, vos cicatrices. (Il la tripote...). Ici ? Ici ? Ah, c'est là !

.-- Melissa : Et bien non ! C'est pas ça. Oh ! Laissez-moi... Bon, bien, je vais vous le dire et vous me ficherez la paix ?

.-- Tous en choeur : OUI ! ! !

.-- Melissa : C'est pour mon teint. Je suis en train de suivre un traitement tout nouveau ; des rayons laser de dernière catégorie, pour être plus blanche, un peu comme Mikaël Jackson. C'est bien comme méthode. Cela a marché du premier coup... Depuis je suis blanche. Je n'ai plus qu'à faire de l'entretien. C'est très facile.

.-- J . G . : Ah ! Vous êtes une noire ! (Il change de place et va sur la chaise vide).

.-- Arthur : Quelle drôle d'idée ! Vous êtes noire, vous êtes noire ! Il faut vous y faire une bonne fois pour toutes !

.-- Melissa : Oui, mais mon mari n'a pas besoin de se faire rallonger, lui, au moins. Et pourtant il n'est pas noir...

.-- Arthur : Ouah ! ! ! Il a une grosse bite ?

.-- Maurice (à Arthur) : Soyez au moins polie. Nous sommes entre gens du monde. N'employez pas de gros mots, je vous prie. Si vous le pouvez ! Mais il ne faut pas demander l'impossible aux minables !


.-- Arthur : Je suis polie, mon petit. Plus que vous. La politesse ne se tient pas toute dans les mots. Ce mépris des femmes ! C'est incroyable ! Restez au moins politiquement correct, sinon correct ! Et puis quel plaisir d'être prise pour une minable par un minable.

.-- Maurice : On sait que le Politiquement Correct cache des Pharisiens remplis d'hypocrisie ! On ne peut plus rien dire sous peine de procès aux Assises. Tout ce cinéma, c'est pour cacher l'impuissance des politiques devant la crise... Et les Médias en rajoutent !

.-- Arthur : Oh ta gueule ! Le môme !

.-- Maurice : Je ne tiens pas à vous parler, Madame ! Je parle de Madame. (Il montre Melissa). Elle au moins, elle sait ce que c'est qu'une femme, et elle se tient à sa place...

.-- Melissa : Ah ! ... Parce que vous pensez qu'une femme n'a qu'à rester à sa place ? Dans l'ombre ?

.-- Maurice : Oui Madame. Une femme doit d'abord être effacée et rester dans son foyer. C'est là que réside sa véritable force !

.-- Melissa : Vous voulez nous diminuer ! Moi, je dis non !

.-- Arthur : Et moi je dis à Madame, que si elle est noire, elle est noire. Elle n'a qu'à s'y faire !


.-- J . G . : C'est vous qui dites ça, le travelo ? Vous n'aviez qu'à rester mec si vous êtes si finaud, au lieu de donner de bons conseils !

.-- Maurice : Oui, vous n'avez pas tout à fait tort. Cela peut être très jolie, une noire !

.-- Melissa : Mais non. Ce n'est pas possible pour moi s'être noire. Parce que je suis amoureuse d'un type du SSN, qui ne supporte ni les Jaunes, ni les Juifs, ni les Arabes, ni les Musulmans, ni les drogués, ni les marginaux, ni les chiens, ni les graffitis, ni les homosexuels, ni les transsexuels, ni les gouines, ni les jeunes, ni les travestis, ni les immigrés, ni les Tziganes, ni les Chinois, ni les Esquimaux, ni les mous, ni les modérés, ni les Noirs...

.-- Tous en choeur : QU'EST-CE QUI RESTE ALORS ? ! ! !

.-- Melissa : (Elle se met à pleurer). Alors c'est pour ça que... (Ils la consolent, l'asseyent, lui massent les épaules, s'agitent et soupirent).

.-- Maurice : Vous êtes ravissante comme ça !

.-- Melissa : Oui, mais...

.-- Arthur : Il ne faut pas pleurer pour si peu ! Vous êtes trop sensible ! Pensez que vous avez la chance de vivre en France, un pays privilégié ! Tous ces Noirs en Afrique qui meurent de faim !

.-- Maurice : Et il n'y a pas que ça ! La pollution, la destruction de la Planète. Mais où on va ? On est trop nombreux !

.-- J . G . : Bah ! On a plus qu'à attendre la fin du monde. C'est pour ce soir, d'après le Figaro Madame.

.-- Melissa : Oui. Cela fait quatre fois depuis deux cents ans qu'ils ont dit que c'était pour tel ou tel jour, et rien...

.-- J . G . : Un jour, ça va nous tomber dessus. Tant mieux. On est bien trop nombreux. Je suis bien d'accord. (Il regarde Maurice).

.-- Maurice : C'est pour moi que vous dites ça ?

.-- J . G . : Comprend qui veut.

.-- Arthur : Tout le monde devrait faire comme moi : supprimer le coupable, le sexe masculin ! Et se faire émasculer...

.-- J . G . : Tant qu'à faire, alors on va dire que les Gays et les Lesbiennes sont hyper écolos ? Avec eux sur Terre, le problème de la reproduction serait réglé ! Mieux qu'en Chine ! ! !

.-- Maurice : Là, vous exagérez ! Imaginez qu'il n'y ait plus d'enfant sur Terre ! Quelle tristesse !

.-- Melissa : (Elle pleure). Cette idée est horrible... Moi qui voudrait un fils par-dessus tout ! Mais ce n'est pas possible ! Il serait noir ! Mon Dieu, mon mari ne le supporterait pas !

.-- Arthur : Ah bon ?

.-- Maurice : Mais si votre mari est blanc et que vous êtes devenue blanche, il ne devrait pas y avoir aucun problème.

.-- Melissa : Mais avec mes gènes, il n'y a rien à faire. Mes descendants seront tous avec du sang noir...

.-- J . G . : Quand même, quand j'y pense, c'est très important cette histoire du surpopulation, d'exploitation de la Planète, de déplacement sans contrôle des populations, de domination des Chinois sur nos productions françaises... les délocalisations, l'envahissement des produits asiatiques, la rafle des vins de Bordeaux, des Châteaux de la Loire, des plans du T.G.V., de notre technique atomique, de nos... etc. par les Indiens... Il faut quand même dire qu'il n'a pas tort, votre type du SSN. Il y a du laisser-aller partout. Un jour, il faudra bien se décider à faire du nettoyage... Moi qui suit un élu de région, je me propose de déposer une loi qui dirait...

.-- Maurice : Ah non ! Pas de politique...

.-- Melissa : On avait dit pas de politique...

.-- Arthur : Pas de politique, ni de religion...

.-- Maurice : On a parlé des Noirs peut-être, entre autres. Et alors pourquoi pas refaire les camps de concentartion et d'extermination pendant qu'on y est ? Moi qui suis Juif, je peux vous dire...

.-- J . G . : Juif ! Et drogué aussi peut-être ? ( Il change de chaise).

.-- Maurice : Ah ! Vous, l'allongé des parties, le diminué sexuel de première, je ne vous permets pas... Je ne vous demande pas ce que vous tripotez dans vos magouilles politiques extrémistes. Vous avez du sang sur les mains, Monsieur...

.-- Arthur : Oui ! On a connu ça dans les années 60 ! Moi qui suis Arabe... et pourtant je peux dire que je suis une vraie française...

.-- J . G . : Quoi ! Arabe ? En plus de transsexuelle ! ! ! (Il change de place).

.-- Arthur : Petit politicard ! Je vous méprise ! Vous voulez tellement dominer les femmes que si vous aviez pu faire greffer le phallus du Colosse de Rhodes, on serait au courant ! (Elle s'agite en grognant et en tapant du pied. Dans son énervement, elle fait voler des revues).

.-- Maurice : Un peu de tenue, s'il vous plaît, Messieurs, enfin z' et dames, ça vole bas. Trop bas pour moi !

.-- Arthur : Oh, ta gueule ! ! ! D'abord je suis une dame maintenant, une vraie si tu veux voir ? (Elle fait mine de baiser sa jupe). Et c'est pas un jeune con de Juif, qu'on devrait interdire de voler, non mais  - et pourquoi pas sur un 747 pendant qu'on y est -, qui va me faire la morale, et pourquoi pas la morale... Oui, je ne sais plus ce que je dis... ce que je voulais dire... Mais vous ne m'empêcherez pas de le dire !

.-- Melissa : C'est vrai.

.-- Arthur : Toi la négresse...

.-- Melissa : Mais vous êtes TOUS pire les uns que les autres... Même mon mari qui est pire que tout le monde, ne l'est pas autant.

.-- Maurice : Oui. Mais moi qui suis Français... Madame ! De la quatrième génération ! Tout le monde ne peut pas en dire autant ! Avec ces immigrés qui nous arrivent de partout, avec des religions pas possibles !

.-- J . G . : Depuis quand les Juifs sont Français ?

.-- Arthur : Depuis que les chiens se mettent à parler...

.-- J . G . : Moi, un chien ? !

.-- Maurice : Et qu'est-ce que vous êtes d'autre ? Quand on pense tellement à la baise qu'on se fait allonger... Obsédé... zob-sédé...

.-- J . G . : Petit Juif de cabine aérienne... Allez-vous faire encuver, avec votre 737, 741 et les autres, dans un cul de basse fosse ! Et même incruster pour ne pas dire encastrer...

.-- Melissa : Oh non ! Encastrer, ça, ça fait très mal ! ! !

.-- J . G . : Justement !

.-- Arthur : Mais c'est dégueulasse de parler comme ça ! ! ! C'est comme si pour l'Islam... vous disiez...

.-- J . G . : Toi, l'Arabe...

.-- Melissa : Oh ! Vous le raciste...

.-- TOUS... (Ils se lèvent et se courent après tout autour des chaises en criant) : Travelo, négresse, immigré, arabe, juif, obsédé, jeune con, vieux débris, anti-français, allongé, féministe, homosexuel, travesti, encuvé, encavé, gouine, pédé, noire, primate, drogué, raciste, mufle, transsexuel, émasculé, conard, sexiste, politicard, etc. ... (Ils sortent en se tapant dessus, en éparpillant les dossiers et en renversant le mobilier). 

                                                                   R I D E A U

 

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                              " L  E    B  I  E  N  -  Ê  T  R  E " 

                                        par Stephen d'Aubois
                        


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                Lucos, le robot français chasseur de cambrioleurs
 

Un petit robot mobile 100% français capable de voir de jour comme de nuit pour traquer les cambrioleurs, et pouvant crapahuter dehors par grands froids et grosses chaleurs, fait ses premiers tour de roues dans la banlieue de Toulouse.

Lucos, un petit boîtier de 50cm de côté monté sur 4 roues, pesant 15 Kilos, étanche et doté d'une caméra, peut fonctionner dans tous les environnements, notamment en extérieur, contrairement aux autres robots de sécurité qui sont tous commercialisés dans le civil, souligne Philippe Roussel, président de la Société qui l'a mis au point, Abankos Robotic, installée à Ramonville-Saint-Agne. 

L'inspecteur gadget...

Télécommandé depuis son bureau par l'agent de sécurité, l'engin est capable de monter des trottoirs et des pentes de 40 degrés de traverser des flaques d'eau, des pelouses, du gravier, par -20 ou +40 degrés Celsius. Il peut atteindre une vitesse de 10 km/h pour aller inspecter des locaux ou leur environnement dès qu'un capteur signale une anomalie.

Un gardien, remarque Philippe Roussel, "ne peut pas prévenir la police sur le seul déclenchement d'une alarme. Il doit certifier qu'il y a quelqu'un". Or il faut en permanence un employé dans le poste de surveillance : d'où l'intérêt du robot pour effectuer la ronde indispensable et prévenir de la présence d'un cambrioleur avant même qu'il ait réussi à forcer la porte.

 

17 000 €uros... 

Lucos, qui permet ainsi à une entreprise d'avoir sur site un seul agent de sécurité et de réduire le nombre de caméras de surveillance, a besoin uniquement d'un réseau Wi-Fi et d'une manette de jeux pour être dirigé.

Le modèle actuellement commercialisé pour 17 000 €uros -alors qu'un poste de surveillant est estimé à 150 000 €uros par an- dispose d'une caméra grand angle qui transmet l'image à un écran d'ordinateur.

Mais il est possible de l'équiper de caméras thermiques, de nez électroniques pour détecter les gaz, d'un compteur Geiger pour mesurer la radioactivité..., égrène Monsieur Roussel.

Le robot est assemblé dans les locaux de la start-up d'à peine deux ans, qui est spécialisée dans l'intelligence artificielle appliquée à la robotique de sûreté. Il est réalisé  avec des partenaires de l'Hexagone et fabriqué avec des éléments français "lorsqu'ils existent", souligne-t-il.

Le dirigeant a poussé jusqu'au bout sa "volonté d'inscrire l'entreprise dans son environnement" français, en donnant des noms "gaulois" à son entourage : Abankos signifierait "castor", un animal bénéficiant d'une ouïe et d'un flair remarquable lui permettant de surveiller son habitat, Lucos  veut dire "souris",   et le prochain robot de la Société sera Cunos, ou "chien-loup".


Prêt à sortir début 2014, Cunos sera "intelligent", doté de trois ordinateurs à bord lui permettant de réaliser des rondes sur l'ensemble d'un site sans commande humaine.

Source : AFP



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                             Un robot prêt à servir dans vos soirées

 

Envie de louer un robot pour votre prochaine soirée ? C'est désormais possible, grâce à une Société bretonne qui a entièrement conçu et réalisé dans ses locaux ce "personnage" haut de 1m55, digne de Star Wars, capable de se déplacer dans une assemblée pour offrir petits fours ou boissons.

Ce "robot de service", le premier de ce type en France, a pour objet "d'aider l'Homme dans les tâches ennuyeuses et répétitives qu'il peut être amené à exécuter" et n'est pas du tout conçu pour un usage en industrie, explique son créateur, Bernard Marti, directeur du département robotique de la Société First Class Robotics, basée dans le pays de Lorient (Morbihan).


Robot N°1, c'est son nom, "peut servir des toasts ou des boissons sur un plateau. Il peut aussi passer la journée à distribuer des brochures dans un salon", développe Monsieur Marti. Il dispose de plusieurs tenues lui permettant de s'adapter selon le contexte de son service.

"Il a une voix humaine assez agréable. Il présente des produits qu'il sert et s'excuse en français et en anglais -pour le moment- si quelqu'un le boscule par inadvertance. Il est également programmé pour se faufiler entre les personnes", détaille Monsieur Marti, soulignant sa facilité d'utilisation : "pas de programmation, pas une ligne de code à écrire..."

Un enfant de cinq ans peut le faire fonctionner et, bien qu'autonome, il peut, si nécessaire, être télecommandé jusqu'à 500 mètres, vante le prometteur.

"Une niche inexploitée"...

Le robot a un "centre de gravité très bas, ce qui lui donne une base très stable. Il peut visionner au ras du sol, pour éviter par exemple le chihuahua d'un invité (...) Il est sympathique et efficace et c'est un premier pas vers l'intégration des robots dans la vie de tous les jours" s'enthousiasme son concepteur, qui entend bien développer la "cobotique", à savoir la robotique collaborative, en soutien à l'activité humaine.

Contrairement à l'humain, Robot N°1 est infatigable, ou presque : grâce à ses quatre batteries de 12 volts, il peut travailler pendant 10 heures d'affilée et même porter des charges de plus de 50 kilos. "Il est complètement autonome dans son service, sans intervention humaine".

Qualité supplémentaire : "il est adapté pour les non-voyants, une première", précise Monsieur Marti. Robot N°1, qui possède une "boîte noire" embarquée, filmant l'ensemble des prestations, va même plus loin : pour la connexion wifi, vidéoconférences, télé-présence ou présentation multi-média, il peut et ceci à la demande, être équipé d'une tablette tactile et d'un système de reconnaissance de personnes ou d'objets basé sur l'utilisation de transpondeurs RFID.

Monsieur Marti réfute l'idée que ce robot puisse entraîner des suppressions d'emploi : dans une soirée, le traiteur et son personnel sont sur le site, assure-t-il, de même qu'un ungénieur de la Société pour superviser le fonctionnement du robot. "Nous sommes les premiers sur le marché (...) Il y avait un grand vide en France sur cette niche inexploitée par les grands de la robotique", dit-il. "Notre idée, c'est de le mettre à la portée des PME, pour les coktails d'entreprise, des arbres de Noël, des salons... On voulait un robot abordable, le but étant de le démocratiser".

First Class Robotics propose des robots de type "insectoïde" -de la même que les robots aspirateurs ou robots tondeuses- uniquement en location, de trois heures à plusieurs jours, et peut même en mettre trois ou quatre à disposition en même temps selon l'importance de la manifestation. La formule "découverte" -soit trois heures de prestation, avec présence d'un ingénieur- est facturée 500 €uros. Forfait de 300 €uros pour chaque robot supplémentaire.  

Source : ecolonews


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                         Le Mixage Phosphénique

 

Le Mixage Phosphénique est un outil très puissant de Développement.

LE MIXAGE PHOSPHENIQUE PERMET LE DEVELOPPEMENT RAPIDE DE LA MEMOIRE, DE LA CONCENTRATION, DE LA CREATIVITE ET DE L'INTUITION.

Le livre "Le Mixage Phosphénique en Pédagogie" du Docteur LEFEBURE a été vendu à plus de 57 000 exemplaires et en est à sa quinzième édition. Il a permis à des milliers d'écoliers et d'étudiants de réussir leurs études et leurs examens. Des résultats étonnants, visibles dès les premières séances. C'est une méthode vraiment simple,agréable, à la portée de tous.

DEVELOPPEZ UN MORAL DE VAINQUEUR ET UN MENTAL A TOUTE EPREUVE. DECUPLEZ VOTRE POTENTIEL ET AUGMENTEZ VOTRE ENERGIE.

Le Mixage Phosphénique n'est pas seulement réservé aux scolaires et aux étudiants, c'est aussi UNE REMARQUABLE METHODE DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL POUR AUGMENTER VOS PERFORMANCES, applicable à tout âge quel que soit le niveau de difficulté et dans tous les domaines de la vie.

Le Mixage Phosphénique est une méthode permettant de faire un travail efficace. C'est également une technique qui réalisent véritablement l'épanouissement de la personnalité, en toute indépendance. Les techniques phosphéniques sont utilisées avec succès pour la gestion du stress mental et physique, la relaxation, la détente et la récupération des fatigues accumulées pendant le travail.

Des personnels navigants techniques et commerciaux (pilotes, hôtesses de l'air et stewards) de compagnies aériennes utilisent la "Phosphenic Pocket Lamp" pour gérer les effets dus au décalage horaire.

Des sportifs de haut niveau et des équipes professionnelles utilisent les techniques phosphéniques pour parfaire le collectif et l'esprit d'équipe, améliorer le moral des joueurs et acquérir un mental de vainqueur.

Les techniques phosphéniques sont un merveilleux outil pour la préparation à la compétition par l'entraînement visualisé, l'acquisition du geste idéal et la désensibilisation aux événements.

L'effet de cette "Phosphenic Pocket Lamp"  sur le sommeil est remarquable. Elle permet de lutter contre l'insomnie, les cauchemars er les nuits agitées. Le matin, on se réveille plus reposé. Son action s'exerce aussi sur les rêves, qui deviennent plus colorés, plus logiques et plus conscients. L'effet sur la vue est très favorable, et même particulièrement efficace, aussi bien cérébralement que sur la santé de l'oeil, si l'on tient compte des indications que nous avons. Les personnes âgées y puisent un rajeunissement cérébral.


          Pour en savoir plus, visitez le site : www.phosphenisme.com 

 

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                              " LES CLEFS DU BONHEUR "

                              par Stephen d'Aubois

 

- Aimez-vous, corps et âme :
Au diable les chiffres superflux... y compris âge, poids et taille.
Laissez les médecins s'en préoccuper ; c'est pour ça que vous les payez.
Entourez-vous de gens heureux.
Ne gardez que vos amis joyeux, les râleurs vous dépriment.

- Gardez votre agilité d'esprit :
Continuez à apprendre. Apprenez toujours plus sur les ordinateurs, les travaux manuels, le jardinage, qu'importe.
Ne laissez jamais votre cerveau au repos pour éviter la déprime.

- Appréciez les choses simples, les petites joies de tous les jours :
Il est plus facile de les goûter et d'en faire le tour.Elles sont moins chères ou plus facile à réaliser, et puis c'est plus reposant.

- Soyez joyeux :
Riez souvent, longtemps et fort. Riez jusqu'à en avoir le souffle coupé.
Et si vous avez un ami qui vous fait rire, passez des heures avec lui.

- Il ne faut pas avoir peur de souffrir, mais il ne faut pas s'y complaire :
En cas de larmes, souffrez. Faites votre deuil et avancez.
La seule personne qui est avec vous pour la vie, c'est vous.
Vivez pendant que vous êtes en vie ! Vous mourrez un jour comme tout le monde et il sera trop tard.

- La santé est le bien le plus précieux :
Prenez soin de votre santé.
Si elle est bonne, préservez-la.
Si elle est instable, améliorez-la.
Si cela dépasse vos forces, trouvez de l'aide en consultant un médecin.

- Ne vous laissez pas submerger par le mal-être :
Ne fréquentez pas les endroits où vous sentez mal, faites plutôt les magasins.
Partez ailleurs, mais nulle part où vous vous sentirez coupable et malheureux.

- Soyez toujours optimiste et attentif aux autres :
Quoiqu'il arrive, la vie vaut la peine d'être vécue.
Mille petits bonheurs insignifiants jalonnent son parcours en vous rendant plus gai et plus agréable aux autres.

- L'amour et l'amitié, ce sont le secret du bonheur :
Répétez à chaque occasion aux gens que vous aimez, que vous les aimez !

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- Terminons cette rubrique par de l'humour sous forme d'annonce :
Recherchons un électricien pour rétablir le contact entre les gens, un opticien pour changer leur regard, un artiste pour dessiner un sourire sur tous les visages, un maçon pour bâtir la paix, un jardinier pour cultiver la pensée et un professeur de maths pour nous réapprendre à compter les uns sur les autres !

 

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